Pourquoi souscrire un contrat d'assurance vie en 2024 ?

Les experts Valority vous accompagnent dans l’ouverture d’un contrat d’assurance-vie le plus adapté possible à vos besoins et à votre profil risque.  

Votre test en

30 sec

  10’ secondes - Offert

Combien verser chaque mois pour obtenir le capital souhaité ?

Définition

Qu’est-ce qu’une
assurance-vie ?

Une assurance vie est un placement financier qui permet de constituer ou de faire fructifier un capital au sein d’une enveloppe fiscale avantageuse et disponible à tout moment

En cas de décès, l’assurance vie est l’un des meilleurs outils pour transmettre son patrimoine.

Dans le cadre d’un contrat d’assurance vie, la sortie du placement se fait de deux manières : soit en capital soit en rente. 

Pour ouvrir votre contrat, vous devrez procéder à un versement initial. Vous pourrez par la suite effectuer des versements ponctuels ou réguliers, sans limite de montant, pour constituer votre épargne.

0 Mds
d’encours sur les contrats
d’assurance-vie
0 %
des ménages français disposent
d'au moins un contrat d'assurance-vie
Les avantages

Pourquoi souscrire une assurance-vie ?

Se constituer un patrimoine sur le long terme

Les sommes investies dans une assurance-vie peuvent être retirées totalement ou en partie à tout moment pour le financement d’un de vos projets par exemple. Le rachat partiel de votre capital n’implique pas la clôture de votre contrat et vous pouvez poursuivre ultérieurement vos versements périodiques.

Il est conseillé de souscrire à ce type de contrat au plus tôt pour profiter d’une fiscalité avantageuse. En effet, lorsque vous souhaitez procéder au retrait partiel ou total de votre épargne, les intérêts issus de vos versements sont soumis au prélèvement forfaitaire unique (PFU) auquel s’ajoutent 17,2 % de prélèvements sociaux

Diversifier vos placements

L’assurance vie répond à un objectif de diversification des supports financiers et peux ainsi convenir à tous les épargnants peu importe leurs objectifs. En effet, l’épargne peut être investie dans des fonds en euros qui offrent un rendement faible mais qui garantissent le capital, quelles que soient les fluctuations du marché. Vous pouvez également choisir d’investir dans des unités de compte (UC), un support plus risqué mais bien plus rémunérateur, pour dynamiser votre épargne.

Compléter vos revenus

L’épargne constituée dans le cadre de votre contrat d’assurance vie peut vous permettre de compléter votre retraite avec un versement régulier du capital ou la perception de ce dernier sous forme de rente viagère. Cette solution peut également s’avérer pertinente à moyen terme si vous souhaitez financer un projet de vie puisqu’il est possible de retirer tout ou partie de votre épargne à tout moment, augmentée des intérêts.

Le contrat monosupport assure la sécurité avec des rendements modérés. Les contrats multisupports assurent des rendements importants pour un risque également plus important. Il est conseillé de faire des placements à moyens et long terme pour ce dernier afin d'atténuer cette volatilité et ainsi obtenir une bonne rentabilité attendue.

Transmettre votre patrimoine

En cas de décès, le contrat d’assurance-vie dispose d’une clause qui permet à l’assuré de choisir à qui transmettre la rente ou le capital constitué. Le patrimoine accumulé peut donc être transmis librement et sans difficulté aux bénéficiaires désignés. De plus, ce type de placement profite d’une fiscalité légère qui permet d’exonérer les bénéficiaires de droits de succession dans la plupart des cas.

Qui peut souscrire ?

Il n’existe pas de condition particulière pour souscrire à un contrat d’assurance-vie, ni d’obligation de versement à l’exception d’un versement initial à l’ouverture du contrat. Toute personne peut en faire la demande, quels que soient son âge ou ses objectifs. N’hésitez pas à faire appel à votre conseiller Valority qui sera en mesure de vous guider vers le contrat et le type de gestion les plus adaptés à vos besoins.

Comment souscrire ?

Auprès de qui peut-on souscrire un contrat d'assurance vie ?

Banques

De nombreuses banques proposent des contrats d'assurance-vie parmi leurs produits d'épargne et de placement. Elles offrent souvent des contrats accessibles à leurs clients, avec la possibilité de gérer son contrat via les services bancaires en ligne.

Compagnies d'assurance

Les assureurs sont les acteurs historiques de l'assurance-vie. Ils proposent une large gamme de contrats, des plus classiques aux plus innovants, adaptés à différents profils d'épargnants.

Courtiers en assurance

Les courtiers proposent des contrats issus de différentes compagnies, ce qui permet de comparer plusieurs offres. Ils peuvent offrir des conseils personnalisés et aider à choisir le contrat le plus adapté à vos besoins.

Mutuelles

Certaines mutuelles, souvent spécialisées dans la prévoyance et la santé, offrent également des contrats d'assurance-vie, avec une approche souvent centrée sur l'éthique et la solidarité.

Conseillers en gestion de patrimoine (CGP)

Les CGP offrent un service de conseil personnalisé et peuvent recommander des contrats d'assurance-vie adaptés à une stratégie patrimoniale globale. Ils travaillent souvent avec plusieurs compagnies d'assurance pour proposer une solution sur mesure.

Souscrire une assurance vie en ligne

Avec la digitalisation des services financiers, de nombreuses plateformes en ligne offrent la possibilité de souscrire à des contrats d'assurance-vie directement sur Internet, souvent avec des frais d'entrée et frais de gestion réduits mais sans expert pour vous conseiller et vous guider dans les démarches.

Types de contrats

Quels sont les deux types de contrats d’assurance-vie ?

Il existe deux grands types de contrats : les contrats monosupport et les contrats multisupports. Selon vos objectifs et votre profil, les conseillers Valority vous guideront plutôt vers l’un ou l’autre. Nous privilégions généralement le contrat multi supports en architecture ouverte pour assurer rendement et sécurité.

Comparatif assurance-vie avec fond en euros et unités de compte
Notre expertise

Comment bien choisir son assurance-vie ?

Le meilleur contrat d’assurance vie n’existe pas. Le choix dépend de votre profil de risque et de vos objectifs à long terme et surtout du choix des supports sélectionnés au sein de cette enveloppe fiscale.

La force de Valority réside dans son approche méticuleuse des différents profils d’investisseurs. À chaque consultation, les conseillers dressent un portrait poussé de l’épargnant, déterminé à partir d’un test déontologique pour pouvoir établir un profil de risque. De cette manière, les options de gestion et arbitrages proposés restent toujours en corrélation avec ses souhaits et ses projets.

À l’écoute, nos conseillers mettent toute leur expertise et leur savoir-faire au service des investisseurs pour leur proposer des solutions sur mesure, en accord avec les visions de chacun.

À savoir
Fonds en Euros

Pourquoi intégrer du
fonds en euros dans un contrat d'assurance-vie ?

De quoi sont constitués les fonds en euros en assurance-vie ?

Les placements en fonds euros sont très peu risqués puisqu’ils sont constitués majoritairement d’obligations, et notamment d’obligations d’État, de bons du trésor et d’obligations d’entreprises. Les actions quant à elles, qui dépendent donc des fluctuations du marché, ne constituent que généralement 9 % des placements en monosupport. Les placements en immobilier sont également intéressants puisque, au-delà des intérêts perçus, le bien immobilier peut générer une plus-value au fil des années

Pour qui ?

L’assurance-vie dite monosupport n’est constituée que d’un seul type de support d’investissement : les fonds en euros. Ce contrat est plutôt adapté aux profils prudents, qui souhaitent limiter le risque.

Pourquoi le rendement des fonds en euros est-il en baisse ?

Sécurité, flexibilité, diversité de placements… Les placements en fonds en euros offrent de nombreux avantages, mais ne procurent cependant qu’un faible taux de rendement.

En effet, mise en parallèle avec l’inflation, la rentabilité des placements en fonds en euros ne cesse de baisser. Cela s’explique notamment par les nombreux placements en obligations d’État, qui se conservent sur de très longues années et dont la rentabilité ne cesse de chuter.

En définitive, le contrat d’assurance-vie monosupport reste avantageux dans le sens où il offre une vraie sécurité. En revanche, sa faible rentabilité notamment à cause de placements en obligations d’État, invite à optimiser et à diversifier les placements, notamment en immobilier ou en actions.

Charles Patry, Directeur commercial
Charles Patry
Directeur commercial
Gestion Privée
Nos conseils d'experts

Le contrat d’assurance-vie monosupport
est fait pour vous si :

Vous souhaitez investir dans des fonds peu risqués

Vous préférez la sécurité à la rentabilité

Vous voulez être certain de récupérer le capital investi

unités de compte

Pourquoi choisir
le contrat multisupports ?

Quel intérêt en 2024 ?

Les contrats d’assurance-vie multisupports sont composés « d’unités de compte » (UC), qui sont libellées en nombre de parts, et non pas en euros. Comme son nom l’indique, le contrat d’assurance-vie multisupports est constitué de différents fonds, eux-mêmes investis sur les marchés financiers et immobiliers. Ce n’est pas la valeur de ces UC mais bien leur nombre qui est garanti par l’assureur.

Pour qui ?

Forme la plus moderne de l’assurance-vie, les contrats multisupport offrent de meilleures perspectives de rentabilité que les contrats monosupport, mais aussi davantage de possibilités d’investissements. En effet, vous pouvez choisir de répartir votre épargne entre différentes zones géographiques, mais aussi par domaine d’activités comme, l’énergie, la santé ou les biotechs par exemple.

De quoi sont constituées les unités de compte dans votre contrat ?

Ce type de contrat en unité de compte présente des risques sensiblement supérieurs puisqu’il ne propose pas de garantie en capital et que les fonds investis en unités de compte évoluent en fonction des fluctuations du marché. En revanche, le rendement reste bien plus intéressant et dépend aussi du dynamisme des fonds sur lesquels vous avez investis.

Comment sont gérés les contrats d’assurance-vie ?

Les contrats d’assurance-vie multisupports demandent une gestion et un suivi rigoureux. Aussi, le souscripteur a le choix parmi 3 solutions pour optimiser la gestion de son épargne.

La gestion libre

Comme son nom l’indique la gestion libre instaure que l’épargnant puisse gérer son contrat d’assurance-vie de façon totalement autonome. De ce fait, vous choisissez vous-même les supports en unités de compte sur lesquels vous souhaitez investir et répartissez librement votre épargne entre les différents supports financiers, unités de compte et fonds en euros.

La gestion conseillée

La gestion conseillée est à mi-chemin entre la gestion libre et la gestion pilotée. Nous n’intervenons qu’en tant que conseil et ne pourrons pas agir directement sur votre contrat d’assurance-vie. Pour vous guider au mieux et s’assurer que vos décisions d’investissement correspondent bien aux risques financiers que vous êtes prêts à prendre, nos conseillers s’appuient sur votre profil de risque, dressé méticuleusement avec vous lors de l’ouverture de votre contrat.

La gestion pilotée

Dans ce type de gestion, l’épargnant confie l’intégralité ou une partie de ses choix d’investissement et des arbitrages qui y sont liés. Pour assurer une gestion optimale de votre épargne, les conseillers Valority font appel à des acteurs reconnus pour leur grande connaissance des marchés financiers tels que Rothschild, auxquels vous donnez mandat pour la gestion pilotée de votre contrat. 

Fiscalité

Quelle est la fiscalité de l'assurance-vie ?

Quelle fiscalité pour l’assuré ?

La loi de finances 2018 a mis en place le Prélèvement Forfaitaire Unique (PFU) ou « Flat tax », applicable à l’ensemble des revenus des placements financiers dont l’assurance-vie.  Les intérêts issus de vos versements sont donc soumis au PFU, auquel s’ajoutent 17,2 % de prélèvements sociaux.

Ce dispositif d'imposition concerne les rachats effectués depuis le 1er janvier 2018. Pour connaître la fiscalité relative à votre assurance-vie lors d’un rachat, il est nécessaire de considérer la date des versements concernés.

  • Pour les versements effectués jusqu’au 26 septembre 2017 : pas de changement, l’ancienne fiscalité reste en vigueur quel que soit le montant.
  • Pour les versements effectués sur un contrat d’assurance-vie depuis le 27 septembre 2017 : le nouveau dispositif du PFU s’applique. Si votre contrat a plus de 8 ans et que vous effectuez un rachat, un abattement annuel s’applique sur la part d’intérêts rachetée. Le montant du PFU dépendra de la date à laquelle vous souhaitez procéder votre retrait.
    • Pour un retrait 8 ans ou plus après l’ouverture de votre contrat : le PFU s’élève à 7,5 % des intérêts
    • Pour un retrait moins de 8 ans avant l’ouverture de votre contrat : le PFU s’élève alors à 12,8 %

Nota bene : Vous avez toujours la possibilité de choisir entre l’impôt sur le revenu et le PFU. À savoir que le PFU s’applique à l’ensemble des revenus du patrimoine pour l’année.

La fiscalité pour les bénéficiaires

Si l’assurance-vie offre des conditions de succession avantageuses puisque les bénéficiaires sont généralement exonérés, le versement du capital peut être soumis à l’impôt dans certains cas.

  • Si le bénéficiaire est votre conjoint ou votre partenaire de PACS: il est fiscalement exonéré et n’est redevable d’aucun droit de succession.
  • Si le contrat est souscrit au profit des frères et sœurs : ils peuvent être exonérés sous certaines conditions.
  • Pour les autres bénéficiaires : tout dépend de l’âge auquel l’assuré a versé ses primes, du montant du capital versé aux bénéficiaires et de la date de souscription des placements ou versements.
    • Pour les sommes versées avant 70 ans : le défunt peut transmettre jusqu’à 152 500 euros à chaque bénéficiaire sans qu’il n’ait à régler de taxes. Au-delà de ce montant, les parts de chaque bénéficiaire sont taxées à hauteur de 20 %.
    • Pour les sommes versées après 70 ans : le défunt peut transmettre jusqu’à 30 500 € tous bénéficiaires confondus, sans qu’aucun n’aient à régler de taxes. Au-delà de ce montant, les capitaux sont placés dans l’actif successoral et les intérêts capitalisés sont exonérés de taxes.
  • En l’absence d’un bénéficiaire : l’épargne est réintégrée dans l’actif successoral et les placements seront soumis aux droits de succession.

Enfin, les intérêts qui n’ont pas encore été taxés sont assujettis aux prélèvements sociaux, au taux de 17,2 % depuis le 1er janvier 2018.

Comment choisir les bénéficiaires ?

Un contrat d’assurance-vie présente un réel avantage puisqu’il permet à l’assuré de désigner librement et à tout moment, quels seront les bénéficiaires de son épargne au moment de son décès. Il est possible de notifier ce choix au moment de la signature de votre contrat ou plus tard par écrit, par le biais d’une mention sur votre contrat d’assurance-vie ou sur un testament par exemple. Dans ce dernier cas, la désignation du bénéficiaire reste un secret absolu, il est toutefois conseillé d’indiquer dans le contrat que le nom du bénéficiaire sera mentionné dans le testament et de noter les coordonnées du notaire dépositaire de l’acte.

L’Impôt sur la Fortune Immobilière

L’IFI ou Impôt sur la Fortune Immobilière a remplacé l’ISF ou Impôt de Solidarité sur la Fortune, depuis le 1er janvier 2018. Sont concernés tous les contribuables dont la valeur nette du patrimoine immobilier détenu directement ou indirectement (SCPI, SCI, OPCI) excède 1,3 million d’euros. La base taxable correspond à la valeur du patrimoine net imposable au 1er janvier de l'année.

Quelle était la fiscalité des contrats ouverts entre 1983 et 1998 ?

Période de souscription avant le 1er janvier 1983

Les contrats souscrits avant cette date bénéficiaient d'un régime très favorable, avec une exonération totale des intérêts et plus-values au moment du retrait, indépendamment de la durée du contrat.

Période de souscription du 1er janvier 1983 au 31 décembre 1989

Pour les contrats souscrits durant cette période, les intérêts étaient soumis à l'impôt sur le revenu, mais une exonération était accordée si les retraits étaient effectués après huit ans de détention du contrat.

Période de souscription du 1er janvier 1990 au 25 septembre 1997

Les contrats souscrits dans cet intervalle étaient soumis à un prélèvement libératoire forfaitaire, dont le taux dépendait de la durée de détention du contrat. Les taux étaient plus favorables pour les contrats de plus de huit ans.

Période de souscription après le 26 septembre 1997

À partir de cette date, un nouveau régime fiscal a été introduit, appliquant des prélèvements sociaux sur les gains, en plus de l'impôt sur le revenu ou du prélèvement libératoire, selon le choix de l'assuré. La fiscalité restait cependant avantageuse pour les contrats de plus de huit ans, avec un abattement annuel sur les intérêts et plus-values retirés.

Retrouvez dans ce guide
Guide Offert
Le guide des placements financiers 2023
Faites un tour d’horizon des solutions d’investissements et retrouvez tous nos conseils d’experts.
Tendances du marché

L’assurance-vie contre la crise

En fonction de la conjoncture économique, l’assuré peut procéder à différents arbitrages sur son contrat d’assurance-vie. Cette démarche est notamment liée aux investissements en unités de compte, qui dépendent des fluctuations du marché et pour lesquels les contrats ne proposent pas de garantie en capital. Il existe de nombreuses solutions pour changer de répartition entre les fonds et rééquilibrer ses placements.

Les transferts programmés

La volatilité des marchés est telle qu’il est difficile de savoir quel est le meilleur moment pour investir dans une assurance-vie. Les transferts programmés permettent de lisser les points d’entrée sur les marchés : au lieu de placer ses liquidités directement sur un support en unités de compte, celles-ci sont placées sur un « fonds d’attente » qui ne fluctue que très peu. Vous donnerez les règles de gestion, à savoir ; la valeur du montant et la récurrence à laquelle vous souhaiterez transférer vos liquidités sur le support en UC.

La limitation des moins-values

Pour limiter l’impact lors de la revente d’une action par exemple, vous pouvez demander une limitation des moins-values. L’action est alors revendue lorsqu’elle a atteint un pourcentage de baisse que vous estimez trop important. La limitation des moins-values peut-être relative, c’est le cas lorsque le seuil de moins-value est atteint, non pas par rapport à la valeur initiale de l’investissement, mais en fonction du plus haut niveau atteint par les fonds. La contrepartie de cette option est qu’elle limite également la plus-value à un certain pourcentage.

Les fonds immobiliers

Les fonds immobiliers permettent également de résister aux crises car ce marché ne perd que très rarement de sa valeur. En effet, la pierre est une valeur refuge : ce placement n’est que peu corrélé aux tendances du marché en actions et garantit de bonnes conditions de revente.

Il existe de nombreuses
solutions pour changer
de répartition entre
les fonds et rééquilibrer
ses placements.

Sylvain Petitjean
Directeur du Développement
GESTION PRIVÉE

FAQ assurance-vie

Questions fréquentes

Quand investir dans une assurance-vie ?

Vous pouvez ouvrir un contrat d’assurance-vie à tout moment mais il est conseillé de le faire au plus tôt et d’épargner au moins 8 ans pour profiter de conditions fiscales avantageuses. En effet, lorsque vous procédez à un retrait partiel ou total de votre épargne moins de 8 ans avant l’ouverture de votre contrat, les intérêts issus de vos versements soumis sont PFU à hauteur de 21,8 %.

Quand racheter son assurance-vie ?

Le rachat du capital, partiel ou total, de votre assurance-vie peut se faire à tout moment. Un rachat partiel peut vous aider à financer un projet et n’implique pas la clôture de votre contrat. Vous pouvez continuer de procéder à des versements réguliers ou non, du montant que vous souhaitez.

Comment clôturer son assurance-vie ?

Le retrait total du capital présent sur votre assurance-vie entraîne la clôture du contrat. Pour ce faire, il suffit de faire la demande auprès de votre conseiller par courrier recommandé et de joindre le RIB du compte sur lequel vous souhaitez transférer les fonds.

Quelle est la différence entre un contrat d'assurance vie collectif et un contrat d'assurance vie individuel ?

Dans le cadre d'un contrat individuel, la souscription est effectuée par une personne pour elle-même ou au profit d'une autre. Ce type de contrat se distingue par un haut degré de personnalisation, permettant à l'assuré d'ajuster les garanties, conditions et options selon ses besoins spécifiques. La gestion de ce contrat est directe entre l'assuré et la compagnie d'assurance, ce qui offre à l'assuré la liberté de modifier son contrat en fonction de ses changements de situation. L'assuré a également la liberté de désigner les bénéficiaires en cas de décès. Cependant, ce niveau de personnalisation et de gestion individuelle peut se traduire par des coûts plus élevés comparativement à un contrat collectif.

D'autre part, un contrat collectif est souscrit par une entité, telle qu'une entreprise ou une association, pour le compte d'un groupe de personnes, comme des employés ou des membres. Ce type de contrat offre des garanties définies de manière uniforme pour tous les adhérents, limitant les possibilités de personnalisation. La gestion est centralisée par l'entité souscriptrice, réduisant ainsi les choix individuels. Bien que les bénéficiaires puissent parfois être personnalisés, ils sont généralement déterminés par les termes du contrat collectif. L'avantage majeur d'un contrat collectif réside dans son coût plus abordable pour l'individu, grâce à la mutualisation des risques et des frais de gestion.

Quels sont les 3 types de frais d'une assurance vie ?
  1. Frais sur versements (ou frais d'entrée) : Ces frais sont prélevés sur chaque versement effectué sur le contrat. Ils représentent un pourcentage du montant versé et servent à couvrir les coûts de commercialisation et de gestion administrative du contrat. Le taux de ces frais peut varier d'un contrat à l'autre et est parfois négociable, surtout pour les versements importants.
  2. Frais de gestion : Il s'agit de frais annuels, calculés en pourcentage de l'épargne gérée. Ils rémunèrent la compagnie d'assurance pour la gestion du contrat et des supports d'investissement (fonds en euros, unités de compte, etc.). Les frais de gestion peuvent différer selon les supports d'investissement choisis au sein du contrat.

  3. Frais d'arbitrage : Ces frais concernent les contrats multisupports offrant la possibilité d'investir sur différents supports financiers (unités de compte, fonds en euros, etc.). Ils sont prélevés lors des opérations de changement de support d'investissement (arbitrages) effectuées par l'assuré. Certains contrats offrent un nombre d'arbitrages gratuits par année, au-delà desquels les frais sont appliqués.